Un petit bouquin dont je me souviens parfaitement avoir eu sur mon bon de commande, ayant même demandé le service de presse jamais reçu.. Bref on est habitué par ici. Un roman ayant obtenu directement le prix Méduse 2023 ainsi que deux autres, pour ce premier roman écrit alors par une jeune femme de 21 ans. Alice Renard est révélée précoce et fait des études scientifique avant de se spécialiser dans la littérature médiévale. Son roman a été encensé par la critique. Pour ma part je l'avais brièvement vu, étant sorti alors que je n'étais même pas en France, mais j'avoue qu'il m'avait intriguée sans pour autant m'y intéresser plus que cela. C'est ça qui est intéressant aussi, d'avoir la pleine surprise en lisant le roman. Déjà, j'adore la couverture, l'adaptation en poche étant très réussie je trouve et comme il est fin, j'en ai profité pour le lire quasiment intégralement à la librairie. On suit donc la vie de Isor, une petite fille au début
On change un peu des grands formats avec un petit roman japonais reçu quelques semaines auparavant en service de presse. Dès que je l'ai reçu j'ai eu envie de le lire, mais j'attendais un peu de lire pas mal de grands formats issus de la rentrée littéraire avant de faire une pause livres de poche. La particularité de celui-ci est qu'il est sorti au Japon en 1948. Et en France cette année en 2024... Une sacrée attente pour qu'il soit traduit ce qui n'est pas rare avec les romans japonais. Dans "Les yeux bruns" donc de Hayashi Fumiko publié dans son pays d'origine il y a plus de 70 ans, l'autrice raconte la vie d'un couple sans enfants dans un Japon post-guerre avec la reconstruction du pays, les difficultés liées au travail et au logement. On suit Juichi et Mineko, lui Juichi travaille dans une entreprise tandis que Mineko reste à la maison, comme il était de coutume à l'époque. Elle s'occupe de la maison, propriétaire d'un imm