La Bibli de Laura

 Dans la lignée des romans coréens que je vous ai présentés dernièrement, je vous ai montré celui-ci dans ma vidéo des romans coréens que je souhaite lire , "Séoul, vite, vite!" des nouvelles de plusieurs auteurs, d'où l'absence de nom sur la couverture. On suit donc plusieurs courtes histoires sur des personnages coréens, permettant d'en apprendre plus sur le pays et la culture. Certaines histoires nous apparaissent assez étranges pour nous occidentaux, ou sont tout simplement absurdes de façon générale. Celle qui m'a le plus marquée je pense est celle d'un couple déménageant, employant une entreprise spécialisée, et les employés étant vraiment étranges, rudes, je m'en foutistes et j'en passe. Le couple souhaite notamment qu'ils prennent soin d'un pot en terre, recommandation qu'ils ne vont pas écouter, et en faire qu'à leur tête. La situation est totalement absurde et inconfortable. Une autre histoire, une femme perd sa soeur, et

 Ayant énormément aimé le premier tome de cette saga " La princesse des glaces ", et " Cyanure " un autre de ses romans, j'avais très envie de lire la suite. J'ai donc acheté celui-ci d'occasion et je l'ai beaucoup aimé. On suit donc toujours Erica Falck, ayant écrit un livre s'étant bien vendu sur la mort de son amie Alexandra. Elle est maintenant enceinte de son compagnon depuis peu, Patrick inspecteur de police.  Il va être sur une nouvelle affaire, d'une jeune femme retrouvée morte. L'affaire va se compliquer quand des ossements de deux jeunes filles vont être retrouvés au même endroit. La famille Hult, pour le moins compliquée va se retrouver au milieu de tout ça, le patriarche décédé étant une espèce de gourou sectaire. Erica va souhaiter aider son compagnon, s'ennuyant ferma avec sa grossesse l'empêchant de faire ce qu'elle souhaite et souffrant de la canicule estivale. D'autant que des indésirables vont squatter sa

 Dans la lignée des romans coréens que je lis en ce moment, j'avais pas mal entendu parler de ce roman nord-coréen, "La dénonciation" de Bandi. Comme vous pouvez l'imaginer avec le régime dictatorial dans ce pays, très difficile d'avoir accès à des informations sur ce qu'il s'y passe, ni de pouvoir lire des écrits des habitants. Or, Bandi, nom d'emprunt bien sûr signifiant "luciole" a réussi à donner des manuscrits à un ami s'enfuyant vers la Chine, où ils ont pu être publiés longtemps plus tard. Ce recueil donc d'histoires tirées de la réalité de la vie écrites il y a 20 ans, expose la vraie image du régime, avec toutes les privations et lois que les habitants subissent. Même si la société a potentiellement évolué depuis toutes ces années, la plupart restent d'actualité. Tant que le culte de la famille Kim aura lieu, difficile pour les nord-coréens d'espérer plus de libertés comme leurs comparses du sud et une vraie vie. Au s

   Voici le livre choisi pour l'édition de mars sur The French book club. Je l'ai lu la dernière semaine du mois, le temps de le commander, puis de le recevoir. Désormais, je commanderai les livres des éditions mensuelles sur Amazon en occasion, même si je n'aime pas trop soutenir Amazon, si je n'aime pas le livre, au moins je n'aurais pas payé plein pot. J'ai débord essayé de le trouver à Lyon chez Gibert Joseph, mais il n'y était pas. Bref, j'ai tellement de livres dans ma bibliothèque que je compte d'ailleurs en revendre, je vous tiendrai informés de comment je fais, car là ce n'est plus possible ahah.  Dans ce livre écrit en 1922, on suit deux personnages principales, Mrs Wilkins et Mrs Arbuthnot, toutes deux habitant Londres et dépendant entièrement de leurs maris. A l'époque comme vous vous en doutez, difficile de travailler et d'être indépendante financièrement. La première, un jour voit une petite annonce dans un journal, proposan

 Un autre roman sur notre génération, mais plus sur ses dérives que "Alegría!", je souhaitais vous parler du dernier roman de Delphine de Vigan "Les enfants sont rois". Sorti en mars, il parle des dérives des réseaux sociaux, de la surexposition, du besoin permanent de partager, de se sentir aimé et désiré. Et surtout de la surexposition des enfants sans leur consentement sur Youtube. Tant de choses complètement dans l'ère du temps malheureusement. Moi-même présente sur les réseaux sociaux, je ne me verrai jamais "vloguer" (montrer ma journée de A à Z) ne comprenant ni l'intérêt, et n'ayant pas l'envie de montrer à tous ma vie privée. Je comprends plus ça lors de voyages par exemple, pour montrer quelque chose qui puisse renseigner son lectorat ou ses abonnés. Et en aucun cas surexposer ses propres enfants alors qu'ils ne sont même pas conscients de ce qu'il se passe. Bref. On suit donc Mélanie Claux, la trentaine, depuis toujours o

 J'avais vraiment hâte de vous partager cet article, puisqu'il s'agit du premier roman de Camille Elaraki, une jeune femme qui m'a très gentiment envoyé son livre. C'était la première fois que cela m'arrivait, j'étais donc vraiment ravie, surtout de pouvoir découvrir un premier roman. Je trouve toujours ça vraiment passionnant, de voir la plume toute jeune de quelqu'un, avec ce sentiment de fierté, puisque cette personne a accompli quelque chose dont je ne serais, je pense, pas capable.  Ce roman, "Alegría!" signifiant "joie" en espagnol, nous raconte la jeunesse de Ola, la vingtaine, ayant seulement son bac (élément important dans l'histoire), et travaillant comme elle le peut. Actuellement serveuse, cette jeune fille se débrouille sans son père décédé, et sans sa mère, depuis incapable de faire quoi que ce soit. Un jour, Grégoire, jeune homme en master à Sciences Po la remarque et leur histoire commence. Leurs vies très différen