La Bibli de Laura

 Il y a des ces livres que l'on souhaite lire depuis longtemps, et le temps passe sans qu'on le fasse. C'est le cas de celui-ci " Le choeur des femmes" de Martin Winckler. Puis un jour je l'ai vu dans cette magnifique édition et je me suis dit que cette fois-ci je ne passerai certainement pas à côté. J'adore ce genre de jolie édition vous le savez, et c'était d'autant plus un plaisir à lire.  L'auteur a fait des études de médecine, et publié plusieurs recueils spécifiques sur le sujet. Dans ce roman inspiré de faits réels, on suit Jean Atwood, (prononcé Djinn, c'est une femme) jeune interne de bientôt 30 ans qui se voit devoir faire un stage de 6 mois dans un service d'un homme du nom de Franz Karma. Elle ne voit pas beaucoup d'utilité à cela, obsédée par la chirurgie notamment des organes génitaux, mais elle n'a pas le choix. Elle va donc suivre le docteur Karma, un homme atypique médecin généraliste s'occupant des femmes.

 Juste après le livre coréen présenté semaine dernière le 31 janvier dans la même journée, j'ai commencé et terminé ce petit bouquin écrit par l'auteur française Virginie Grimaldi dont je n'ai lu que "Il est grand temps de rallumer les étoiles"  que j'avais vraiment adoré, un bon roman feel-good qui fait du bien. J'avais donc hâte de lire d'autres romans de l'auteur adepte des jeux de mots qui me font bien rire. Ce livre-ci est sorti en octobre, l'intégralité des bénéfices sont reversés à la fondation des hôpitaux de Paris et de France avec la crise actuelle. L'auteur a fait une sorte de journal de confinement durant le premier vrai confinement que nous avons eu du 16 mars au 11 mai, en partageant avec ses lecteurs, quelques moments "phares" de sa journée, qu'elle a décidé de publier ensuite pour la bonne cause.   Il est donc rédigé comme un journal, de façon très légère, en s'adressant toujours à sa grand-mère avec toujo

 Une amie m'a prêté ce livre-ci il y a quelques temps, et je l'ai tout de suite lu après "Conversion". Il s'agit d'un roman coréen, le premier que je lis, étant assez difficiles à trouver en France. Autant on trouve beaucoup de romans japonais, autant les romans coréens sont beaucoup plus rares. Il s'agit d'un thriller dont le sujet principal est la dépression, le suicide et la manière dont ils sont traités en Corée. Vous le savez ou non mais le Corée du sud est le pays avec le plus fort taux de suicide du monde, car leur société entière est basée sur l'apparence et la réussite. Si vous n'avez pas fait une très bonne université, si vous défaillez du système vous êtes très mal perçu. Et en l'occurrence la dépression est très mal reconnue en tant que véritable maladie, mais vous êtes perçu comme faible si vous avez les symptômes d'un dépressif... Il y a encore donc pas mal de progrès à faire sur ça.  Bref. On suit donc un homme, Jeon Hak

 On se retrouve cette semaine avec un roman que j'ai lu pour l'édition de janvier sur The French book club, "Conversion" de Katherine Howe. Ce n'était pas le roman élu, mais un proposé parmi la liste, et comme celui élu ne me disait que moyennement je me suis dit que je lirai celui-ci. J'ai rapidement regardé le résumé, n'ayant pas vraiment eu le temps, je l'ai commandé dans une petite librairie à Lyon, histoire de faire travailler un peu les petits commerçants. L'histoire était quand même assez ado, ne m'attendant pas vraiment à cela.  On suit Colleen, lycéenne à St Joan un institut catholique privé de jeunes filles, obsédée par ses études et par l'obtention du meilleur dossier possible pour les universités comme Harvard. Elle ne fait que travailler, a vraiment la tête dans le guidon, chose que vont lui reprocher ses amies. Un jour, une drôle de trouble survient au sein de l'institut. Plusieurs adolescentes populaires du lycée se mette