La Bibli de Laura

 Ca fait bien longtemps que je ne vous avais pas proposé de roman de Harlan Coben par ici. Il ne m'en reste plus beaucoup à lire dans ma bibliothèque il faut dire, et comme j'essaye au maximum de vider ma bibliothèque, j'ai lu celui-ci. Je pense un des moins intéressants de l'auteur que j'ai lu... Mais bon, au moins je l'ai lu. Heureusement je l'ai acheté en occasion donc ça va ahah.  On suit donc Megan une mère et épouse modèle, dévouée à son mari Dave et à leurs deux enfants, ancienne strip-teaseuse connue sous le nom de Cassie. Disparue de l'endroit où elle travaillait appelé "Le crème" dix-sept ans auparavant à Atlantic city, elle n'a plus jamais donné signe de vie suite à cela. Elle a changé d'identité, rencontré l'homme qui deviendrait son mari, en éludant beaucoup de sa vie et en lui mentant. On apprend qu'elle a en fait fui une scène de crime, apeurée de se voir accusée du meurtre de l'homme qui la tyrannisait. Elle

 Après le roman scientifique que j'ai lu dernièrement, j'avais envie de rester dans la même veine d'une enquête, et en fouillant un peu dans les livres qu'il me reste à lire je me suis souvenue que je n'avais toujours pas lu ce roman de Robert Galbraith aka J.K Rowling. J'avais déjà lu et beaucoup aimé         " Le ver à soie" . On suit donc toujours le même détective, Cormoran Strike ancien lieutenant d'une trentaine d'années, le récit antérieurement du coup au Ver à soie. Amputé dû à un accident en Afghanistan, il a depuis ouvert un bureau de détective privé. Les affaires ne sont pas très bonnes, il a des dettes et fait son maximum pour s'en sortir. Il habite chez sa conjointe Charlotte, une femme belle et riche ayant insisté pour le faire vivre chez lui afin de lui éviter des frais supplémentaires.  Au début du roman, tous deux se disputent, Cormoran se met à devoir dormir dans son bureau. Une jeune intérimaire, Robin est engagée pour la

 Enfin un roman autre que coréen par ici ahah. Je pioche dans les quelques derniers livres qu'il me reste à lire dans mes bibliothèques, et je suis tombée sur celui-ci de Robin Cook, "Assurance vie". J'avais déjà lu un roman de l'auteur, "Nano ", que j'avais beaucoup aimé, et dans lequel le personnage principal est la même protagoniste.  Celui-ci se passe dans le passé, et on y suit Pia Grazdani alors étudiante en 4ème année de médecine à l'université de Columbia. Je vous avoue qu'en six ans j'avais un peu oublié le caractère de cette jeune femme au très fort caractère d'origine albanaise. Elle a dû batailler pour entrer dans cette université, à cause de son parcours personnel assez chaotique. En effet, ayant été abandonnée par ses parents à l'âge de six ans, elle a rapidement été placée dans des institutions de l'état. Familles d'accueil et autres foyers l'ont brisée intérieurement, ne pouvant être adoptée, son père a

 Après vous avoir parlé du récit passionnant et très émouvant de Park Yeonmi , j'avais très envie de continuer dans ma lignée des romans coréens avec celui-ci que j'ai acheté cet été "Généalogie du mal" de Jeong You-jeong. Un thriller coréen. C'est le second coréen que je lis après " Le jour du chien noir " et j'ai beaucoup aimé l'ambiance. La Corée ne propose pas que des récits à l'eau de rose, comme on peut le penser en regardant certains dramas et heureusement...D'ailleurs si vous aimez les dramas coréens, ou si vous êtes curieux de regarder un peu quelque chose de différent à la place des séries américaines, n'hésitez pas à aller voir mes vidéos consacrées au sujet ici , ici , et ici je vous en reproposerai une très bientôt. Bref, du coup j'ai lu mon second thriller coréen et j'ai beaucoup aimé. Une atmosphère assez différente des nombreuuuux thrillers américains ou autres, que j'ai pu lire. Une histoire relativement

 Je reviens enfin par ici, et m'excuse au passage de ce très long break sur le blog, n'ayant tout simplement pas terminé de livre avant, n'ayant donc pas eu de contenu à vous partager depuis maintenant. J'ai traîné durant tout le mois d'août "La conjuration des imbéciles" de John Kennedy Toole, que je n'ai actuellement toujours pas terminé, on adore...  Ni l'envie, ni la motivation, d'autres choses très stressantes à penser, ce n'était donc pas la priorité, et une façon de me déstresser.  J'ai acheté "Je voulais juste vivre" de Yeonmi Park, ou plutôt en coréen Park Yeonmi ( le nom de famille étant toujours avant le prénom), en août et j'avais très envie de le lire. J'ai découvert cette jeune femme sur la chaîne du très intéressant Pape San, qui vit à Séoul et dont je regarde très souvent les vidéos. Il l'avait interviewée, et je suis tombée sous le charme de cette activiste nord-coréenne, qui tente d'éveiller l

 Dernièrement j'ai lu ce petit livre absolument magnifique, "Dictionnaire insolite de la Corée du Sud". Plusieurs autres villes et pays existaient, et le principe est vraiment génial je trouve. Evidemment j'ai choisi ce pays-là, comme je souhaite m'y rendre depuis plus d'un an et demi, j'étais donc bien curieuse du contenu, en plus de posséder un beau petit livre. Il est donc construit comme un dictionnaire classique, par ordre alphabétique donc, avec des mots propres à la société tant au niveau culturel que sociétal. On y parle de l'éducation, de la chirurgie, la Corée étant le pays où les cliniques de beauté esthétique prolifèrent, du suicide, possédant le taux de suicide le plus élevé chez les jeunes, la société coréenne ne laissant aucune place à la médiocrité, mais souhaitant être parfaite. Ils parlent des karaokés, très courants au pays du matin clair, des baguettes, des coutumes, de Chuseok ( l'arrivée des moissons, l'occasion de rendre

 Pas d'article la semaine dernière car j'essayais de trouver la motivation, de plus en plus difficile pour rédiger un article. En ce moment, peu importe ce que je fais, il me faut trouver la motivation ça commence à être compliqué. Donc bon, en voyant toutes les vues du blog et des articles individuellement, ça m'a boostée, d'autant que ce roman-ci est vraiment bien et je ne voulais pas attendre plus longtemps avant de vous en parler. Il s'agit d'un des romans arrivé en tête pour l'édition estivale sur The French book club, proposé par Olivia, qui avait l'air différent de ce que je lis habituellement, et donc une très bonne idée de lecture. Il se déroule durant la période pré seconde guerre mondiale en Italie, durant la période fasciste sous Mussolini. 1924, Mussolini devient de plus en plus populaire, les "camicie nere" ou "chemises noires" se font de plus en plus nombreux, symbole de l'appartenance à l'idéologie fasciste qui

 Je vous dis régulièrement que les romans de Margaret Atwood ça passe ou ça casse. Il n'y a que "La servante écarlate" que j'avais littéralement adoré. Une histoire atypique, intéressante qui m'avait littéralement envoûtée. " C'est le coeur qui lâche en dernier ", avait un bon sujet mais partait trop dans tous les sens. " La femme comestible " était un mess du début à la fin. Quant aux "Testaments", je ne l'ai même pas terminé et je l'ai revendu... J'avais donc un peu d'appréhension avant de commencer "Mort en lisière" que j'ai trouvé dans une librairie parisienne. Ces jolies éditions m'ont vraiment fait de l'oeil et je voulais tenter le coup. J'ai bien fait car j'ai bien aimé! J'ai quand même mis un moment pour le lire mais c'était chouette.  Il s'agit de nouvelles, traitant de pas mal de sujets différents. Des jeunes filles au camping, des serveuses qui se font bronzer to

 On se retrouve cette fois avec un roman se déroulant en Nouvelle-Zélande, le premier, ou le second roman que je lis se déroulant là-bas. On suit Joe Middleton, homme de ménage dans un commissariat, apparaissant à tous comme un homme un peu simplet et retardé. Or, il masque bien son jeu... En effet, il est en réalité un serial-killer, il l'admet lui-même au lecteur. Il tue régulièrement des femmes pour les punir en quelque sorte... Ce fameux psychopathe qui sévit se fait appeler le Boucher de Christchurch. Les policiers du commissariat où il travaille ne se doutent à aucun moment que le meurtrier est en fait sous leurs yeux depuis le tout début. De par son travail, Joe a donc accès à toutes les ressources sur l'avancée de l'affaire, sur les preuves retrouvées, dont il peut se servir. On découvre un homme profondément seul, une sorte de Tanguy vivant seul, avec une mère omniprésente, folle qui le fait culpabiliser de ne jamais venir le voir alors qu'il va en fait la voir

 Il est rare de trouver des romans coréens en librairies, je vous le dis régulièrement en stories Instagram. Je ne sais pas pourquoi la littérature coréenne est si peu présente et traduite en France et c'est bien dommage. Le jour où je serai bilingue, je proposerai peut être de traduire des romans ahah. En attendant, les rares que je trouve je les prends, car flemme de commander sur internet. J'ai trouvé celui-ci dans une grande et jolie librairie de Paris VI en me baladant au hasard. La rare maison d'éditions proposant des romans coréens, et asiatiques de façon générale est Picquier. J'aime beaucoup cette maison d'éditions avec de jolies couvertures, une bonne qualité de livre et de papier. Je vais donc vous parler du "Camp de l'humiliation" de Kim Yu-Kyeong, transfuge nord-coréenne ( d'origine nord coréenne mais qui a passé la frontière sud coréenne).  Dans ce roman difficile, elle raconte, à partir de réels témoignages la vraie vie de la Corée d

 Cette semaine, je vous parle du dernier livre sorti en poche de la saga des Sept soeurs de Lucinda Riley. Le septième est sorti mais en broché, donc j'attendrai qu'il sorte en poche pour me l'offrir. Dans ce sixième tome, on suit les aventures de Electra, la dernière soeur d'Aplièse, qui a 26 ans et est mannequin basée à New-York, voyageant toute l'année. C'est la sœur assez instable de la fratrie, qui a le sang chaud, qui poussait des colères lorsqu'elle était enfant, et s'est toujours sentie à côté de ses sœurs, étant assez différente. Cependant, cette ambiance de fratrie multiculturelle lui a toujours donné de la force, et ne lui a jamais donné l'impression qu'elle était à part ( elle est la seule soeur noire de peau), ce qui lui a valu d'être discriminée dans son adolescence. Remarquée à 16 ans, et devenue mannequin très rapidement, Electra a commencé très tôt sa carrière, et dans le roman, elle est devenue alcoolique et prend régulièrem

 Un roman que j'avais depuis trop longtemps dans ma bibliothèque sans l'avoir encore lu, "Journal d'un vieux fou" de Junichirô Tanizaki. Un roman conseillé par mon prof de français et de théâtre lorsque j'étais en seconde. Et que je lis 10 ans plus tard. Parfois il faut le temps ahah. Pourtant je suis très fan de la littérature japonaise je pense que vous avez pu le remarquer. Mais j'avoue que la littérature du XXème, j'en lis moins que celle du XXIème, avec en tête d'affiche Haruki Murakami, vous le savez. C'est donc le second roman du grand maître japonais que je lis après " Quatre soeurs ", littéralement des années après. L'histoire m'avait assez intriguée quand mon prof nous l'avait racontée.  On suit un vieillard d'environ 70 ans, qui s'éprend de sa belle-fille, ancienne danseuse de music-hall assez libérée moralement, assez rare au Japon surtout à cette époque. Le vieillard est malade, il passe régulièrement

Juste après avoir lu "Inexorable" de la même auteur, j'avais envie de continuer dans la même veine, même si je savais à quoi m'attendre niveau tensions et malaise. Cependant heureusement cela n'a pas été aussi violent que "Le tueur de l'ombre" et "Le tueur intime" car là ça aurait été dur à supporter... Ce roman parle plutôt d'impacts psychologiques que physiques surtout au début, c'est donc assez pesant mais beaucoup moins que ses romans précédents. On suit une famille dont la fille disparaît un soir alors qu'elle est censée retrouver sa mère au centre-commercial. Nous sommes en 1994.  Nick, son frère de 15 ans se retrouve alors seul à se gérer durant des années, ses parents étant complètement apathiques et au fond du trou devant la disparition de leur fille. L'enquête n'avance pas, ils n'ont aucune nouvelle, ni rien à quoi se raccrocher. Nick prend alors de l'argent à ses parents pour faire les courses , pour v

 J'ai déjà lu plusieurs livres de l'auteur française Claire Favan, avec notamment "Le tueur de l'ombre" ,  "Le tueur intime"  et " Dompteur d'anges ", deux romans très difficiles psychologiquement sur des tueurs violeurs en série, sympa donc. Comme "Une colonne de feu", je redoutais un peu de le lire de peur de retomber sur ce genre de pitch assez trash. Heureusement ça l'était légèrement moins, vu qu'il n'est pas question d'autant de violence, bien que les agressions physiques soient présentes.  On suit Alexandra, mariée à Victor un bel homme qu'elle aime. Un jour celui-ci se fait arrêter pour braquages à main armée, sous les yeux de son fils de quatre ans, Milo. Celui-ci développe alors de grandes frayeurs suite à ce traumatisme de cette scène violente qu'il a vécue et à la privation de son père. Il fait des cauchemars à répétition, devient violent, ne supporte plus aucune remarque, aucun geste, qu'il

 On part sur un gros pavé cette semaine, raison pour laquelle il n'y a pas eu d'article la semaine dernière, vous savez que c'est très rare. Il y avait une très bonne raison pour cela. "Une colonne de feu" de Ken Follett, un roman que j'ai dans ma bibliothèque depuis sa sortie, à savoir 2017, sans oser l'ouvrir. Il y a des livres comme ça, qu'on redoute un peu de lire soit à cause de la taille, soit à cause du sujet que l'on redoute un peu. Pour celui-ci, les deux raisons étaient valables. Il faut savoir que l'auteur, réputé pour "Les piliers de la terre" et "Un monde sans fin" pose son histoire au Moyen-Age dans ses deux romans, avec l'ambiance de l'époque avec tout ce que cela implique. C'est à dire une inégalité hommes-femmes à son paroxysme, viols, violences et j'en passe autant vous dire que c'est vraiment pas facile.  Heureusement, celui-ci se déroule bien deux siècles après le second tome, du coup

Enfin je rédige l'article de ce livre-ci que je repousse depuis une semaine. Parfois grosse flemme ça arrive et pourtant je l'ai beaucoup aimé donc rien à voir avec ça... Je vous parle donc cette semaine de "Le tourbillon de la vie" le dernier roman de Aurélie Valognes. Il m'en manque 2 et je les aurais tous lus. Ma mère m'a offert celui-ci, sachant que j'apprécie bien cette autrice. Elle nous parle toujours d'histoires familiale, de liens sociaux, et les titres sont toujours des expressions françaises. Cette fois-ci on suit Arthur et son petit-fils Louis. Le grand-père garde son petit-fils durant un été. Ils ne sont guère habitués l'un à l'autre, la mère du garçon n'étant pas proche de son père. Cette période va leur permettre de créer des liens, le grand-père étant un personnage vraiment original et sympathique. Ancien comédien de théâtre, il parle souvent de son ancien travail et passion à Louis. Ils cuisinent ensemble, pêchent ensemble,

On va parler de nouveau de notre société concernant les réseaux sociaux et de la surexposition sur les réseaux. Après avoir parlé de Youtube et de l'exposition des enfants avec " Des enfants sont rois " de Delphine de Vigan, je vous parle aujourd'hui de "Instagrammable" de Eliette Abécassis. Ma mère m'a offert ce roman, sachant que je suis sur ce réseau et ayant été interpellée par le titre, l'ayant moi-même vu en librairie.  L'auteur parle de plusieurs jeunes personnages dont Sacha, vivant avec sa mère, allant au lycée et étant addict à Instagram. Sa meilleure amie s'appelle Lou, et toutes deux suivent notamment des influenceuses mode et beauté, plus ou moins accessibles et superficielles, certaines que j'ai aussi pu suivre. D'ailleurs c'est assez drôle puisque l'auteur donne des noms de vraies parisiennes, beaucoup suivies sur les réseaux. Toutes deux ont une vie de lycéenne très différente de la mienne où j'avais un bla

 Dans la lignée des romans coréens que je vous ai présentés dernièrement, je vous ai montré celui-ci dans ma vidéo des romans coréens que je souhaite lire , "Séoul, vite, vite!" des nouvelles de plusieurs auteurs, d'où l'absence de nom sur la couverture. On suit donc plusieurs courtes histoires sur des personnages coréens, permettant d'en apprendre plus sur le pays et la culture. Certaines histoires nous apparaissent assez étranges pour nous occidentaux, ou sont tout simplement absurdes de façon générale. Celle qui m'a le plus marquée je pense est celle d'un couple déménageant, employant une entreprise spécialisée, et les employés étant vraiment étranges, rudes, je m'en foutistes et j'en passe. Le couple souhaite notamment qu'ils prennent soin d'un pot en terre, recommandation qu'ils ne vont pas écouter, et en faire qu'à leur tête. La situation est totalement absurde et inconfortable. Une autre histoire, une femme perd sa soeur, et

 Ayant énormément aimé le premier tome de cette saga " La princesse des glaces ", et " Cyanure " un autre de ses romans, j'avais très envie de lire la suite. J'ai donc acheté celui-ci d'occasion et je l'ai beaucoup aimé. On suit donc toujours Erica Falck, ayant écrit un livre s'étant bien vendu sur la mort de son amie Alexandra. Elle est maintenant enceinte de son compagnon depuis peu, Patrick inspecteur de police.  Il va être sur une nouvelle affaire, d'une jeune femme retrouvée morte. L'affaire va se compliquer quand des ossements de deux jeunes filles vont être retrouvés au même endroit. La famille Hult, pour le moins compliquée va se retrouver au milieu de tout ça, le patriarche décédé étant une espèce de gourou sectaire. Erica va souhaiter aider son compagnon, s'ennuyant ferma avec sa grossesse l'empêchant de faire ce qu'elle souhaite et souffrant de la canicule estivale. D'autant que des indésirables vont squatter sa

 Dans la lignée des romans coréens que je lis en ce moment, j'avais pas mal entendu parler de ce roman nord-coréen, "La dénonciation" de Bandi. Comme vous pouvez l'imaginer avec le régime dictatorial dans ce pays, très difficile d'avoir accès à des informations sur ce qu'il s'y passe, ni de pouvoir lire des écrits des habitants. Or, Bandi, nom d'emprunt bien sûr signifiant "luciole" a réussi à donner des manuscrits à un ami s'enfuyant vers la Chine, où ils ont pu être publiés longtemps plus tard. Ce recueil donc d'histoires tirées de la réalité de la vie écrites il y a 20 ans, expose la vraie image du régime, avec toutes les privations et lois que les habitants subissent. Même si la société a potentiellement évolué depuis toutes ces années, la plupart restent d'actualité. Tant que le culte de la famille Kim aura lieu, difficile pour les nord-coréens d'espérer plus de libertés comme leurs comparses du sud et une vraie vie. Au s

   Voici le livre choisi pour l'édition de mars sur The French book club. Je l'ai lu la dernière semaine du mois, le temps de le commander, puis de le recevoir. Désormais, je commanderai les livres des éditions mensuelles sur Amazon en occasion, même si je n'aime pas trop soutenir Amazon, si je n'aime pas le livre, au moins je n'aurais pas payé plein pot. J'ai débord essayé de le trouver à Lyon chez Gibert Joseph, mais il n'y était pas. Bref, j'ai tellement de livres dans ma bibliothèque que je compte d'ailleurs en revendre, je vous tiendrai informés de comment je fais, car là ce n'est plus possible ahah.  Dans ce livre écrit en 1922, on suit deux personnages principales, Mrs Wilkins et Mrs Arbuthnot, toutes deux habitant Londres et dépendant entièrement de leurs maris. A l'époque comme vous vous en doutez, difficile de travailler et d'être indépendante financièrement. La première, un jour voit une petite annonce dans un journal, proposan

 Un autre roman sur notre génération, mais plus sur ses dérives que "Alegría!", je souhaitais vous parler du dernier roman de Delphine de Vigan "Les enfants sont rois". Sorti en mars, il parle des dérives des réseaux sociaux, de la surexposition, du besoin permanent de partager, de se sentir aimé et désiré. Et surtout de la surexposition des enfants sans leur consentement sur Youtube. Tant de choses complètement dans l'ère du temps malheureusement. Moi-même présente sur les réseaux sociaux, je ne me verrai jamais "vloguer" (montrer ma journée de A à Z) ne comprenant ni l'intérêt, et n'ayant pas l'envie de montrer à tous ma vie privée. Je comprends plus ça lors de voyages par exemple, pour montrer quelque chose qui puisse renseigner son lectorat ou ses abonnés. Et en aucun cas surexposer ses propres enfants alors qu'ils ne sont même pas conscients de ce qu'il se passe. Bref. On suit donc Mélanie Claux, la trentaine, depuis toujours o

 J'avais vraiment hâte de vous partager cet article, puisqu'il s'agit du premier roman de Camille Elaraki, une jeune femme qui m'a très gentiment envoyé son livre. C'était la première fois que cela m'arrivait, j'étais donc vraiment ravie, surtout de pouvoir découvrir un premier roman. Je trouve toujours ça vraiment passionnant, de voir la plume toute jeune de quelqu'un, avec ce sentiment de fierté, puisque cette personne a accompli quelque chose dont je ne serais, je pense, pas capable.  Ce roman, "Alegría!" signifiant "joie" en espagnol, nous raconte la jeunesse de Ola, la vingtaine, ayant seulement son bac (élément important dans l'histoire), et travaillant comme elle le peut. Actuellement serveuse, cette jeune fille se débrouille sans son père décédé, et sans sa mère, depuis incapable de faire quoi que ce soit. Un jour, Grégoire, jeune homme en master à Sciences Po la remarque et leur histoire commence. Leurs vies très différen

 J'avais envie de changer un peu de style de livre, je me suis dit que ce serait donc cool de lire "Cher Monsieur M" de Herman Koch, un livre dont le résumé m'avait fortement attirée il y a des années lorsque je l'ai acheté. Et comme le mois de mars sur The French book club, était "Les éditions 10/18, et que je l'avais proposé dans la sélection, je me suis dit que ce serait cool de le lire. Je ne sais pas pourquoi je ne l'avais encore jamais lu, je pense simplement comme beaucoup de livres que j'ai pu accumuler, il est resté dans ma bibliothèque et je l'ai tout simplement oublié.  J'ai déjà lu deux livres de l'auteur à savoir " Le dîner " et " Villa avec piscine " que j'avais tous les deux beaucoup aimés, le premier étant sur une dispute, se réglant entre les deux parties lors d'un dîner, et le second sur des vacances entre amis, suite auxquelles un évènement dramatique survient. J'avais beaucoup aimé l&

 Je vous parle de plus en plus de la Corée du sud sur mes réseaux et pour cause, je m'intéresse au pays, à la culture et à la langue depuis plus d'un an, toute information est donc bonne à prendre. Ma mère m'a donc offert ce petit guide, qui change un peu des romans que je vous présente très souvent par ici. L'auteure Elise Ducamp a vécu à Séoul plusieurs années et nous raconte son expérience, ce qu'elle a appris, tant au niveau histoire du pays, culture, religion, façon de vivre et j'en passe.  La première partie historique est très intéressante et m'a beaucoup appris, par exemple comment elle a été formée, tant au niveau origines que post guerre des Corées. Elle nous parle également de la langue et de leur alphabet avec quelques mots ( que je connaissais déjà) mais je pense que pour les débutants ça peut vraiment être top. Elle nous parle ensuite de l'art et des traditions intrinsèquement liés à leur histoire d'origine, notamment avec le palais imp