La Bibli de Laura

 Un livre que j'avais acheté en novembre 2019 à Porto, et que j'ai enfin sorti de ma bibliothèque... Un beau livre de mode en anglais, je vous faisais une vidéo il y a longtemps sur mes beaux livres d'ailleurs. Une façon de relire en anglais, ce que je n'avais pas fait depuis longtemps, et de lire un livre de mode, pareil cela faisait bien longtemps que je n'avais pas lu autre chose qu'un roman. Je l'ai lu en moins de deux jours, ce genre de livre se lisant rapidement. Les deux autrices, Isabelle Thomas et Frédérique Veysset nous parlent donc de la chaussure de façon générale en commençant par le fameux escarpin/stiletto, genre de chaussure que je ne mets jamais. Elles expliquent que chaque femme en possède au moins une paire dans son dressing et plusieurs faits soit disant avérés qui ne le sont pas, ça m'a d'ailleurs un peu énervée. Entre interviews de créateurs incluant Louboutin, connu pour ses chaussures pires qu'inconfortables pour un prix

 On enchaîne les romans japonais en ce moment, je vous avais prévenus, avec cette fois-ci                          "Le restaurant de l'amour retrouvé" de la géniale Ogawa Ito, dont je vous ai récemment partagé          "La papeterie tsubaki" . J'avais entendu parler de "Le restaurant de l'amour retrouvé" également, et j'avais hâte de le lire, ayant adoré l'histoire de Hatoko. Contrairement à Hatoko qui vivait au sud de Tokyo vers la mer, cette fois-ci c'est dans les montagnes qu'on retrouve notre héroïne, Rinco.   Elle a 25 ans, travaille dans un restaurant turc, est en couple avec un indien avec lequel elle vit, leur appartement émettant toujours des effluves de nourriture indienne qu'elle prend plaisir à préparer, la cuisine étant une part importante de sa vie. Un jour alors qu'elle rentre chez elle après son travail, elle trouve l'appartement entièrement vide. Plus de meubles, de nourriture, et même l'argent é

 On continue le récap des livres japonais que j'ai lus dernièrement, avec ce livre sympathique dont j'ai vraiment adoré la couverture disons le. "La formule préférée du professeur" de Yôko Ogawa, dont j'avais déjà lu plusieurs romans il y a des années. J'ai acheté également deux autres romans japonais que je lirai très bientôt. J'avoue que celui-ci m'a particulièrement attirée de par sa couverture, on ne va pas se le cacher, mais également de par son résumé original. On suit un professeur, ancien mathématicien à la retraite, dont la mémoire flanche complètement. Celle-ci s'efface au bout de 80 minutes, et il est incapable de se souvenir de quoi que ce soit, passé ce délai. Dix aide-ménagères ont donc abandonné le travail, jusqu'à ce que l'une d'entre elles, notre héroïne tente à son tour sa chance chez cet homme pour le moins original. Plongé dans l'univers des mathématiques constamment, il est totalement déconnecté de la réalité, e

 Je vous avais dit en stories Instagram , que je risquais de vous parler de ce pavé que la semaine prochaine vu sa taille, mais je l'ai en fait terminé en moins de trois jours, happée par le récit, comme à chaque fois avec l'auteur suisse. Lorsque Joel Dicker sort un roman, je me jette à chaque fois dessus, sachant que je vais adorer l'histoire et qu'elle va m'emporter. Lors de la sortie de celui-ci, j'avais donc très envie de l'acheter, mais un peu la flemme de dépenser le prix d'un broché. Ma mère me l'a donc généreusement prêté, je l'ai donc lu très rapidement avant qu'elle le lise à son tour.  Dans ce roman se situant après "La vérité sur l'affaire Harry Quebert" on retrouve Marcus Goldman, ayant remporté un franc-succès avec ce roman. Il se rend chez un de ses fidèles ami, Perry Gahalowood, qui l'avait embarqué pour innocenter son ami Harry. Le sergent Gahalowood, un homme assez bougon qui préférerait mourir plutôt qu&#